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Suite à l’accord interprofessionnel 2023-2024, les heures de relance sont de retour. De juillet 2023 à juin 2025, il est à nouveau possible de faire prester 120 heures supplémentaires volontaires additionnelles, autrement appelées « heures de relance ».

A l’approche des fêtes de fin d’année, bon nombre d’entreprises souhaitent manifester leur sympathie à l’égard de leurs travailleurs par l’octroi de cadeaux ou de chèques-cadeaux.

En cette veille de Noël qui fait la joie de nombreux enfants belges, les parents ont-ils eu aussi droit à un cadeau de la part du Père Noël ? D’après une analyse réalisée par le secrétariat social, Partena Professional, auprès de 60.000 salariés* la réponse est oui.

Les revenus autorisés des enfants en cas de saisie et de cession sur salaires ont été publiés au Moniteur belge.

D’application depuis 2016, le mécanisme du Tax Shelter pour start-up est un dispositif fiscal belge qui vise à inciter les citoyens à soutenir l’émergence de nouvelles entreprises en leur permettant de récupérer 30 (rarement applicable) ou 45 % de leur investissement par le biais d’une réduction sur leur impôt des personnes physiques.

L’année 2024 promet une vague de changements dans le monde du travail

Pour encourager la reprise du travail des travailleurs en incapacité de longue durée, la mutuelle paie une prime de 1000 € aux employeurs qui occupent un travailleur pendant au moins 3 mois dans le cadre d’une activité autorisée par la mutuelle.

Si vous mettez un travailleur en chômage temporaire, vous serez tenu, à partir du 1er janvier 2024, de lui verser, outre le(s) supplément(s) existant(s), un montant de 5 EUR par jour de chômage, sauf si ce montant est à charge d’un fonds de sécurité d’existence.

Des journées comme celles que nous vivons actuellement relèvent parfois du défi, c’est le moins qu’on puisse dire. Travail et vie privée sont en effet intimement mêlés. Mais comment conserver la frontière entre les deux ? Et comment maintenir une dynamique et une structure, tout en préservant une certaine sérénité ?

En l’état de la question, les délégués syndicaux ne peuvent sous prétexte de la liberté syndicale s’attaquer de manière injurieuse et/ou calomnieuse à certains travailleurs même sous prétexte de la liberté d’expression.