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Vous voulez vous lancer comme indépendant ? Vous devez alors choisir votre statut d’indépendant, puis votre forme juridique, et enfin le type de société le cas échéant.
Vous devez choisir votre statut d’indépendant ? Ce choix s’établit en fonction de votre situation. Vous pouvez ainsi devenir indépendant à titre principal ou indépendant à titre complémentaire, ou peut-être étudiant-entrepreneur. Quelles sont les différences et qu’est-ce que cela implique ? Découvrez-le ici.
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Votre situation détermine le statut d’indépendant que vous choisissez :
Vous pouvez vous consacrer à 100 % à votre nouvelle activité qui devient votre activité principale ? Vous prenez alors le statut d’indépendant à titre principal.
Vous combinez votre emploi actuel de salarié à mi-temps avec votre nouvelle activité d’indépendant ? Vous prenez alors le statut d’indépendant complémentaire.
Vous êtes étudiant et voulez démarrer votre activité ? Vous prenez alors le statut d’étudiant-entrepreneur.
Vous pouvez tout à fait commencer comme indépendant complémentaire et passer ensuite indépendant principal en fonction de l’évolution de votre activité.
Vous exercez en tant que profession libérale ? Retrouvez les différents statuts possibles et leurs implications ici.
Toute personne salariée chez un employeur au moins à mi-temps ou qui preste une activité d’au moins 19 heures/semaine peut exercer une activité d’indépendant à titre complémentaire.
Vous êtes fonctionnaire ? Dans ce cas, il se peut que vous ayez besoin de l’autorisation de votre employeur.
Vous travaillez dans l’enseignement ? En cas de nomination fixe, les prestations doivent correspondre à 6/10 au moins d’un horaire complet et, si elles sont contractuelles, à au moins 5/10 d’un horaire complet.
Vous êtes au chômage ? La mesure tremplin indépendant vous permet de vous lancer en tant qu’indépendant complémentaire tout en gardant vos allocations de chômage pendant 12 mois.
Un revenu supplémentaire : vous recevez un complément financier à votre salaire. Celui-ci dépend en partie de votre motivation et du temps que vous voulez ou pouvez consacrer à votre activité.
Diversité : vous pouvez choisir d’exercer votre emploi fixe en 4/5, afin de consacrer du temps à votre propre entreprise. Vous travaillerez alors 20 % de moins dans le cadre de votre profession principale, mais votre salaire net ne diminuera pas en proportion. Vous relèverez simplement d’un barème d’imposition inférieur.
Fiscalité : les frais que vous engagez pour votre activité complémentaire peuvent être déduits en tant que frais professionnels. La différence entre le bénéfice et les frais professionnels détermine le revenu imposable.
Cotisations sociales moins élevées : elles sont proportionnelles à votre revenu net imposable, donc vous y gagnez. Si votre bénéfice ne dépasse pas une certaine somme, vous êtes même totalement exonéré des cotisations sociales.
Récupération de la TVA : vous pouvez récupérer la TVA que vous avez payée sur vos dépenses, ce qui fera baisser le montant de la TVA due à l’État. Si votre chiffre annuel est inférieur à 25 000 €, vous pouvez même bénéficier d’un régime simplifié de TVA.
Conservation des avantages sociaux majeurs : vous conservez vos droits à la sécurité sociale que procure votre emploi à temps plein ou à temps partiel, ainsi que le droit à des vacances, à une pension, à des indemnités de maladie, à des allocations familiales, etc.
Le temps : votre activité complémentaire a un impact important sur votre emploi du temps. En particulier au début, lorsque vous devez régler des formalités administratives. Heureusement, notre guichet d’entreprises est là pour vous aider et simplifier vos démarches au maximum.
Pas de droits sociaux (supplémentaires) : vous n’avez pas droit à des allocations (supplémentaires) liées à la sécurité sociale des indépendants, telles que les allocations familiales, la pension ou l’assurance faillite. Vous bénéficiez uniquement des avantages liés à votre activité principale.
Davantage d’impôts : les revenus issus de votre activité complémentaire viennent s’ajouter à votre salaire. De ce fait, vous risquez de vous retrouver dans une tranche d’imposition supérieure et de devoir dès lors payer plus d’impôts.
Vous engagez des frais supplémentaires : investissements, frais récurrents, frais de déplacement, honoraires du comptable, etc. Toutefois, bon nombre d’entre eux sont déductibles, intégralement ou partiellement.
La concurrence : il y a un risque que vos concurrents soient des indépendants à temps plein. Ceux-ci sont plus flexibles étant donné qu’ils sont également disponibles pendant les heures de bureau. En fonction de l’activité que vous exercez, cela peut constituer un obstacle.
Pour prendre le statut d’étudiant-entrepreneur, il faut répondre à ces conditions :
Avoir entre 18 ans et 25 ans.
Être inscrit comme étudiant dans un établissement d’enseignement belge ou étranger et suivre au moins 27 crédits/an ou 17 heures de cours/semaine.
Exercer une activité professionnelle (en dehors de tout lien de subordination vis-à-vis d’un employeur) en raison de laquelle il est assujetti au statut social des travailleurs indépendants.
Le statut d’étudiant-entrepreneur bénéficie d’un régime de cotisations sociales avantageux :
Si le revenu de l’étudiant-entrepreneur est inférieur à 8204,6 € par an, il ne paye aucune cotisation de sécurité sociale.
Si son revenu se situe entre 8204,6 € et 16 409,2 € par an, une cotisation réduite de 20,5 % sera calculée sur le montant au-delà de 8402,6 €.
Si son revenu supérieur à 16 409,2 € par an qu’il paiera des cotisations sociales comme tout travailleur indépendant à titre principal.
À vous donc de voir quel statut correspond le mieux à votre situation et à votre projet. Vous souhaitez vous lancer comme indépendant principal ? Lisez ici comment choisir la bonne forme d'entreprise et la bonne forme juridique.