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L'ONEM autorise les entreprises affectées par l'épidémie de coronavirus à recourir au régime de chômage temporaire pour leurs travailleurs. Moyennant le respect de certaines conditions.

Avec le recalcul du « bonus à l’emploi », une réduction des cotisations personnelles de sécurité sociale à charge du travailleur, certains salaires vont connaître à partir du 1er avril une augmentation.

A. La nouvelle petite flexibilité – Le concept L’annualisation du temps de travail, c’est le calcul de la durée hebdomadaire moyenne de travail sur une période de référence d’un an, et non pas sur la semaine.

La tendance est à la croissance pour les flexi-jobbers, tant au niveau du volume horaire que de la rémunération.

Le bonus cash est un bonus variable octroyé par le biais de la rémunération classique. Ce dernier présente un avantage majeur, voire même unique : il ne vous lie pas à certaines règles. Vous pouvez payer un bonus à un seul travailleur (et pas aux autres) sans devoir vous justifier. Mais cette liberté a, bien entendu, un coût et c'est précisément le gros inconvénient de cette formule.

Suite à l’accord interprofessionnel 2023-2024, les heures de relance sont de retour. De juillet 2023 à juin 2025, il est à nouveau possible de faire prester 120 heures supplémentaires volontaires additionnelles, autrement appelées « heures de relance ».

Si vous mettez un travailleur en chômage temporaire, vous serez tenu, à partir du 1er janvier 2024, de lui verser, outre le(s) supplément(s) existant(s), un montant de 5 EUR par jour de chômage, sauf si ce montant est à charge d’un fonds de sécurité d’existence.

Bénéficiez d’un accompagnement et de services sur mesure pour gérer votre personnel de manière optimale.

Dans un contexte où la guerre des talents est de plus en plus rude, le salaire constitue un atout de taille. Le but est de faire une offre aussi attrayante que possible aux candidats.

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