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Au plus fort de la pandémie, de nombreuses voitures de société sont restées à l'arrêt. Du fait de l'adoption massive du télétravail, ce mouvement devrait s’amplifier à l'avenir. Les employeurs peuvent-ils en profiter pour réduire leurs coûts de mobilité?

La tendance est à la croissance pour les flexi-jobbers, tant au niveau du volume horaire que de la rémunération.

Annoncées en 2021, les formules de calcul du budget mobilité étaient attendues. Un arrêté royal vient préciser les deux formules – réelles ou forfaitaires. Ces méthodes entrent en vigueur le 1er janvier 2024. Petit tour d’horizon de ces deux méthodes de calcul.

Chaque année, avec l’arrivée des vacances d’été, se pose la question des conditions d’engagement des étudiants.

Le 1er avril 2024, quatre secteurs dans lesquels le système des flexi – jobs avait été récemment (le 1er janvier 2024) autorisé vont « sortir » totalement ou partiellement du système. D’autres employeurs vont, quant à eux, rentrer dans le système.

Les contrôles flash nationaux dans les secteurs verts (CP 144, 145 et 132), à savoir les secteurs de l’agriculture, de l’horticulture et des travaux techniques agricoles et horticoles, auront lieu au mois d'octobre 2023.

Plusieurs secteurs imposent une prime pouvoir d'achat unique aux entreprises qui ont réalisé des bénéfices élevés en 2022. Vous trouverez ci-dessous des informations sur son octroi, ainsi que sur la manière de déterminer si vous êtes tenu de verser une prime pouvoir d'achat à votre personnel.

La loi-programme du 22 décembre 2023 apporte de nombreuses adaptations au système des flexi-jobs.

Depuis 2024, les nouvelles formules de calcul à appliquer dans le cadre du budget mobilité sont en vigueur. Des zones d’ombres subsistaient cependant. Une circulaire fiscale vient apporter un peu de clarté.

Parmi les assouplissements débattus lors du Codeco de vendredi, la fin du télétravail obligatoire. Le principe est acquis, nous dit-on, mais il reste à s'accorder sur le timing.