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Début de cette semaine, une entreprise belge annonçait qu’elle allait supprimer la limitation des jours de congés payés de tous ses employés en Belgique.

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En cette fin d’année 2019, les primes de fin d’année sont plus que jamais d’actualité. L’occasion idéale de rappeler les obligations des employeurs en la matière. Plusieurs commissions paritaires prévoient également  le paiement d’une prime annuelle. Prime de fin d’année et primes annuelles ne poursuivent pourtant pas les mêmes objectifs  : quelles sont les différences ?

La tendance est à la croissance pour les flexi-jobbers, tant au niveau du volume horaire que de la rémunération.

Avec le recalcul du « bonus à l’emploi », une réduction des cotisations personnelles de sécurité sociale à charge du travailleur, certains salaires vont connaître à partir du 1er avril une augmentation.

Depuis le 1er janvier 2018, les employeurs peuvent octroyer une partie de leurs bénéfices à leurs travailleurs de manière relativement simple grâce à la prime bénéficiaire, qui constitue une forme de participation des travailleurs. Avantageuse tant pour l’employeur que pour le travailleur, la prime bénéficiaire a connu un succès immédiat.

Lorsqu’un travailleur preste des heures supplémentaires, son employeur et lui-même bénéficient d’un avantage fiscal, sous certaines conditions.

A l’approche des fêtes de fin d’année, bon nombre d’entreprises souhaitent manifester leur sympathie à l’égard de leurs travailleurs par l’octroi de cadeaux ou de chèques-cadeaux.

Le 8 mars a lieu la journée internationale des droits des femmes. En 2022, celles-ci travaillaient symboliquement gratuitement depuis la mi-Novembre en raison d’une inégalité salariale persistante.

En cette veille de Noël qui fait la joie de nombreux enfants belges, les parents ont-ils eu aussi droit à un cadeau de la part du Père Noël ? D’après une analyse réalisée par le secrétariat social, Partena Professional, auprès de 60.000 salariés* la réponse est oui.